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RL-2024-66246392-APN-DNDA#MJ (SEPTIMA SERIE)
Aldeas y ciudades durante la Modernidad. |D. Duart | Cap. 12 |Historias mínimas.
Hoy abordamos el texto de Robert Fossier, la sociedad medieval publicado por Editorial Crítica. Vamos a detenernos en las explicaciones que realiza en los títulos “el renacimiento de la ciudad” y el “hombre de la ciudad una mentalidad dinámica”.
Primeramente recordamos que entre el mundo medieval y la modernidad hubo un proceso de transición, que no fueron abruptos sino lentos pero constantes, para los historiadores es muy importante saber cuáles fueron los cambios y las continuidades que se dieron durante esa transición. En segundo lugar podemos afirmar que muchos de los cambios que la modernidad va a exhibir como determinantes, tuvieron sus inicios durante gran parte de la edad media y en especial al final de esta.
Veamos que dice con respecto al “renacimiento de las ciudades”. El autor sitúa este despertar luego de siete siglos de adormecimiento a partir del año 1050. Muchas aldeas van a sufrir un proceso de urbanización en donde residirán actores importantes que se convertirán en centrales durante la modernidad, como los comerciantes y los artesanos de todo tipo que no residen en el mundo rural.
El mundo urbano como el rural va a coexistir y ser complementario el uno del otro. Pero lo que define la diferencia entre estos dos mundos son las mentalidades que en ella se desarrollan. Muchas de esas aldeas se irán convirtiendo en ciudades, esa trasformación presupone una urbanización caótica y las podemos encontrar de diverso tipo, veamos que dice el autor:
“Hay ciudades cerradas en las que se encuentra ganado y aldeas amuralladlas, ciudades de 200 almas y aldeas de 2.000, comunas urbanas y rurales, e incluso el tipo de actividad económica es impreciso: en principio se trata de una ciudad si la alimentación depende del exterior, pero como se vendimia y se cultiva fuera de los muros, y las afueras constituyen la ciudad, persiste la incertidumbre”.
Para el autor el lugar de residencia que eligen los comerciantes y artesanos junto a la mentalidad son factores importantes para entender el proceso de urbanización. Para el autor el hombre de la ciudad tiene un espíritu emprendedor y asume riesgos mientras el campesino no posee esas cualidades de oportunismo para los negocios individuales o familiares. Tanto la paz como el orden son necesarios para el mercader como para el artesano, ese orden se va a reflejar en el lugar que ocupen en la urbe, el barrio de los mercaderes es distinto al de los artesanos, el centro de esa urbe será casi siempre ocupada por las distintas autoridades que posea esa urbe. Esa distinción también es manifiesta en los edificios en los cuales habitan. Señalan el éxito que poseen en sus empresas o la ausencia de ello. El poder económico reside en el barrio que habita y la calidad de la vivienda.
Inglés
Hello everyone, my name is Diana Duart, I am a teacher at the Faculty of Humanities in the Department of History of the National University of Mar del Plata, I welcome you to «Minimum stories» produced by the Society and State Group through its Project Contributions of History.
This chapter is designed for students from the middle schools of the Argentine Republic in a teaching -learning process for the face -to -face or virtual system, of course I am welcome other audiences.
Today we address the text of Robert Fossier, the medieval society published by Editorial Critical.
We are going to stop in the explanations made in the titles «The Renaissance of the City» and the «Man of the city a dynamic mentality.»
First we remember that between the medieval world and modernity there was a transition process, which were not abrupt but slow but constant, for historians it is very important to know what the changes and continuities that occurred during that transition were.
In second place we can affirm that many of the changes that modernity will exhibit as determinants, had its beginnings for much of the Middle Ages and especially at the end of it.
Let’s see what he says regarding the «rebirth of cities.» The author places this awakening after seven centuries of numbness from 1050.
Many villages will suffer an urbanization process where important actors will reside that will become central during modernity, such as merchants and artisans of all kinds that do not reside in the rural world.
The urban world as the rural will coexist and be complementary to each other. But what defines the difference between these two worlds are the mentalities that develop in it.
Many of those villages will become cities, that transformation presupposes a chaotic urbanization and we can find them of different types, let’s see that the author says:
«There are closed cities in which I am won and walled villages, cities of 200 souls and villages of 2,000, urban and rural communes, and even the type of economic activity is inaccurate: in principle it is a city if the food depends on the exterior, but as it is harvested and cultivated outside the walls, and the outskirts constitute the city, uncertainty persists.»
For the author, the place of residence that merchants and artisans choose together with the mentality are important factors to understand the urbanization process.
For the author, the city man has an entrepreneurial spirit and assumes risks while the peasant does not have those qualities of opportunism for individual or family businesses.
Both peace and order are necessary for the merchant and for the artisan, that order will be reflected in the place they occupy in the city, the neighborhood of the merchants is different from that of the artisans, the center of that city will almost always be occupied by the different authorities that possess that city.
This distinction is also manifest in the buildings in which they live. They point out the success they have in their companies or the absence of it. Economic power lies in the neighborhood that inhabits and the quality of housing.
Francés
Bonjour à tous, je m’appelle Diana Duart, je suis enseignante à la Faculté des sciences humaines du Département d’histoire de l’Université nationale de Mar del Plata, je vous souhaite la bienvenue à des «histoires minimales» produites par la société et le groupe d’État à travers ses contributions de projet de l’histoire.
Ce chapitre est conçu pour les élèves des collèges de la République argentine dans un processus d’enseignement-apprentissage pour le système de face-face ou de système virtuel, bien sûr, je suis le bienvenu d’autres publics.
Aujourd’hui, nous abordons le texte de Robert Fossier, la société médiévale publiée par Editorial Critical.
Nous allons nous arrêter dans les explications faites dans les titres «La Renaissance de la ville» et «l’homme de la ville une mentalité dynamique».
Nous nous souvenons d’abord qu’entre le monde médiéval et la modernité, il y avait un processus de transition, qui n’était pas brutal mais lent mais constant, pour les historiens, il est très important de savoir quels étaient les changements et les continuités qui se sont produits pendant cette transition.
En deuxième place, nous pouvons affirmer que bon nombre des changements que la modernité présenteront en tant que déterminants, a eu ses débuts pendant une grande partie du Moyen Âge et surtout à la fin.
Voyons ce qu’il dit concernant la «renaissance des villes». L’auteur place cet réveil après sept siècles d’engourdissements à partir de 1050.
De nombreux villages subiront un processus d’urbanisation où des acteurs importants résideront qui deviendront centraux pendant la modernité, comme les commerçants et les artisans de toutes sortes qui ne résident pas dans le monde rural.
Le monde urbain en tant que rural coexistera et sera complémentaire les uns des autres. Mais ce qui définit la différence entre ces deux mondes, ce sont les mentalités qui s’y développent.
Beaucoup de ces villages deviendront des villes, cette transformation présuppose une urbanisation chaotique et nous pouvons les trouver de différents types, voyons que l’auteur dit:
«Il y a des villes fermées dans lesquelles je suis gagné et les villages clas, des villes de 200 âmes et villages de 2 000, des communes urbaines et rurales, et même le type d’activité économique est inexact: en principe, c’est une ville si la nourriture dépend de l’extérieur, mais comme il est récolté et cultivé à l’extérieur des murs, et que les tribunaux constituaient, l’incertitude persiste.»
Pour l’auteur, le lieu de résidence que les commerçants et les artisans choisissent avec la mentalité sont des facteurs importants pour comprendre le processus d’urbanisation.
Pour l’auteur, l’homme de la ville a un esprit d’entreprise et assume des risques tandis que le paysan n’a pas ces qualités d’opportunisme pour les entreprises individuelles ou familiales.
La paix et l’ordre sont nécessaires pour le marchand et pour l’artisan, que l’ordre se reflétera dans l’endroit qu’ils occupent dans la ville, le quartier des marchands est différent de celui des artisans, le centre de cette ville sera presque toujours occupé par les différentes autorités qui possèdent cette ville.
Cette distinction se manifeste également dans les bâtiments dans lesquels ils vivent. Ils soulignent le succès qu’ils ont dans leurs entreprises ou en son absence. Le pouvoir économique réside dans le quartier qui habite et la qualité du logement.
Alemán
Hallo allerseits, mein Name ist Diana Duart, ich bin Lehrer an der Fakultät für Geisteswissenschaften in der Abteilung für Geschichte der Nationalen Universität von Mar del Plata.
Dieses Kapitel richtet sich an Schüler aus den Mittelschulen der Argentinierrepublik in einem Lernprozess für das Gesichtsfokus oder das virtuelle System. Natürlich bin ich auf andere Zielgruppen willkommen.
Heute befassen wir uns mit dem Text von Robert Fossier, der mittelalterlichen Gesellschaft, die von Editorial Critical veröffentlicht wurde.
Wir werden in den Erklärungen in den Titeln «The Renaissance of the City» und dem «Mann der Stadt eine dynamische Mentalität» aufhören.
Zunächst erinnern wir uns, dass es zwischen der mittelalterlichen Welt und der Modernität einen Übergangsprozess gab, der nicht abrup, sondern langsam, aber konstant war. Für Historiker ist es sehr wichtig zu wissen, was die Veränderungen und Kontinuitäten während dieses Übergangs auftraten.
An zweiter Stelle können wir bestätigen, dass viele der Veränderungen, die die Moderne als Determinanten aufweisen, ihre Anfänge für einen Großteil des Mittelalters und insbesondere am Ende hatten.
Mal sehen, was er über die «Wiedergeburt der Städte» sagt. Der Autor stellt dieses Erwachen nach sieben Jahrhunderten Taubheit ab 1050.
Viele Dörfer werden einen Urbanisierungsprozess erleiden, in dem wichtige Akteure leben werden und die während der Moderne zentral werden, wie Händler und Handwerker aller Art, die nicht in der ländlichen Welt wohnen.
Die städtische Welt als Land wird koexistieren und zueinander ergänzen. Was jedoch den Unterschied zwischen diesen beiden Welten definiert, sind die Mentalitäten, die sich darin entwickeln.
Viele dieser Dörfer werden zu Städten, diese Transformation setzt eine chaotische Urbanisierung voraus und wir können sie von verschiedenen Typen finden. Lassen Sie uns sehen, dass der Autor sagt:
«Es gibt geschlossene Städte, in denen ich gewonnene und ummauerte Dörfer, Städte von 200 Seelen und Dörfern von 2.000, städtischen und ländlichen Gemeinden, und selbst die Art der wirtschaftlichen Aktivität ist ungenau
Für den Autor ist der Wohnort, den Händler und Handwerker zusammen mit der Mentalität wählen, wichtige Faktoren, um den Urbanisierungsprozess zu verstehen.
Für den Autor hat der Stadtmann einen unternehmerischen Geist und gilt Risiken, während der Bauern diese Qualitäten des Opportunismus für Einzel- oder Familienunternehmen nicht hat.
Sowohl Frieden als auch Ordnung sind für den Händler und für den Handwerker notwendig, diese Ordnung wird sich in dem Ort widerspiegeln, den sie in der Stadt einnehmen, die Nachbarschaft der Kaufleute unterscheidet sich von der der Handwerker. Das Zentrum dieser Stadt wird fast immer von den verschiedenen Behörden besetzt sein, die diese Stadt besitzen.
Diese Unterscheidung zeigt sich auch in den Gebäuden, in denen sie leben. Sie weisen auf den Erfolg hin, den sie in ihren Unternehmen haben, oder über das Fehlen davon. Die wirtschaftliche Macht liegt in der Nachbarschaft, die lebt, und in der Qualität des Wohnraums.
Edición: Carlos Van Hauvart (UNMdP/FH/Historia/Cehis/INHUS/Colegio Nacional Dr. Arturo Umberto Illia.